
Un bouton dans le formulaire de publication permet d'envoyer le texte à Openai.com pour le laisser revoir le texte, améliorer son flot voire mettre en valeur certaines idées.
En 2024, l'agence Bretagne Presse a introduit l'utilisation de chatGPT 4.0, comme nos fidèles lecteurs ont pu le remarquer. Nous avons toujours pris soin de mentionner son utilisation dans les préambules de nos articles et même dans les signatures, conformément à notre ligne éditoriale. Si un article est entièrement rédigé par ChatGPT, il est signé en tant que tel ; si le contenu lui est fourni et qu'il finalise le travail, il est reconnu comme co-auteur.
Dès aujourd'hui, nous proposons cette fonctionnalité d'intelligence artificielle à tous nos contributeurs ou représentants d'associations accrédités sur ABP. Un bouton spécifique dans notre formulaire de publication offre la possibilité d'envoyer le texte à Openai.com pour le réviser, optimiser sa fluidité ou mettre en exergue certaines notions clés. Le texte corrigé apparaît en quelques secondes, donnant la possibilité de l'ajuster avant son envoi pour publication.
Ce texte a bénéficié de la relecture de l'IA.
Commentaires (8)
Il y aura les heureux (?) bénéficiaires d'implants (chinois ?) qui très librement, gagneront à tous les coups la compétition sociale. Ainsi, chaque porteur ne sera plus qu'un élément d'une machine à penser située à des milliers de kilomètres. Ces gens auront transformé leur vie en "struggle, en problème à résoudre pour mieux dominer, au lieu de la laisser n'être qu'une aventure à vivre entre égaux.
Mon modeste avis est qu'il n'existe d'intelligence que naturelle, et que l'envisager comme artificielle, sans lapsus ni inconscient, sans humour ni ironie, sans mots d'esprit ni poésie, sans génie ni fulgurances, est un oxymore.
Ne va-t-il pas être préférable de rester naturellement idiot ?
AV
Avec l'IA, surtout dans un premier temps (car je ne vois pourquoi l'IA ne serait pas créative elle-même à terme...), c'est justement l'originalité, le côté humain qui séduira les lecteurs. La certification "authentique humain" (pour ne pas dire "authentique débile") sera la plus-value d'un site.
ABP.BZH est un bonheur
Dont Philippe Argouarch est l'auteur.
C'est heureusement un fait médiatique.
AV
Voici sa réponse :
Analysons la compatibilité de la charte éditoriale d'ABP avec l'utilisation de l'IA générative pour la création d'articles en examinant les points clés de la charte :
Points qui pourraient poser problème :
1. L'anonymat est explicitement interdit :
"L'anonymat est strictement interdit sur ABP. Tous les communiqués doivent être signés par un porte-parole qui existe véritablement."
- Un article généré par IA poserait un problème d'attribution et de responsabilité.
2. Responsabilité des auteurs :
"Les auteurs et les porte-paroles sont responsables de l'exactitude de leurs propos et de la véracité des faits cités"
- Il serait difficile d'attribuer cette responsabilité à une IA.
3. Déontologie de la presse :
"Les porte-paroles des associations ou entreprises, ainsi que les correspondants ABP, doivent respecter la déontologie de la presse."
- L'utilisation d'IA pour générer du contenu pose des questions éthiques importantes en matière de déontologie journalistique.
4. Sources et vérification :
"Les faits sauf si avérés partout dans la presse doivent aussi être sourcés."
- Les IAs génératives peuvent avoir tendance à inventer des sources ou à faire des erreurs factuelles.
5. Accent sur l'humain et le local :
La charte met l'accent sur les informations venant "des citoyens, des associations, des collectivités ou des entreprises" avec un fort ancrage local et une connaissance fine du territoire breton.
Conclusion :
La charte d'ABP semble incompatible avec l'utilisation d'IA générative pour créer des articles, principalement pour des raisons de :
- Responsabilité éditoriale
- Traçabilité et attribution du contenu
- Authenticité des sources
- Déontologie journalistique
- Ancrage humain et local
L'utilisation d'IA pourrait éventuellement être envisagée comme outil d'assistance (relecture, correction, mise en forme) mais pas pour la génération autonome d'articles, qui irait à l'encontre des principes fondamentaux de la charte.