N'implijomp ket toupinoù nemet evit chom hep diskouez ar gemennadenn-mañ deoc'h ha, evit ar c'henlabourerien, evit aesaat o kevreadenn. Meneget oc'h en ur pennad ? Gouzout hiroc'h sur la loi RGPD et en particulier le droit à l'oubli.
Dépêche
Les parents de Fañch font appel
le tilde
Dans un communiqué envoyé ce matin à la presse, les parents du petit Fañch dont le Procureur de la République a refusé le tilde au dessus du n de son prénom, annoncent se pourvoir en appel de la décision du tribunal de Quimper.
Dans un communiqué envoyé ce matin à la presse, les parents du petit Fañch dont le Procureur de la République a refusé le tilde annoncent se pourvoir en appel de la décision du tribunal de Quimper.
Vivant en Bretagne, soucieux de transmettre nos valeurs, notre culture, notre langue spécifique, nous avons donné à notre enfant un prénom breton avec son orthographe et sa prononciation bretonnes. Nous maintenons ce choix parfaitement légitime. Nous sommes soutenus dans notre démarche conforme aux grands principes des droits humains, par le voeu du conseil municipal de Quimper à l'unanimité, par le président du Conseil régional de Bretagne, par le Conseil culturel de Bretagne et bien sûr par tout le mouvement associatif culturel, de très nombreux Bretons et Bretonnes, mais aussi par l'opinion internationale et des médias de différents pays européens et plus encore, qui ne comprennent pas l'ostracisme auquel nous sommes soumis.__Les parents de Fañch Bernard
Bon, les élus concernés se réveillent, il était temps ! Ils ne peuvent indéfiniment échapper à leur fonction de défense de la Bretagne car ils sont payés non pas uniquement pour cela, mais bien pour cela aussi. Manquent encore les Parlementaires des 5 départements : députés et sénateurs, ainsi semble-t-il que les élus des Conseils Généraux qui ne doivent pas s'imaginer vivre sur une terre neutre et interchangeable, à l'abri des querelles, un espace lambda sans couleur sans odeur et sans tilde !
Pas de demi-mesure : que les parents demandent que leur patronyme soit orthographié Bernac'h ou BernarC'h et que tous les Guyomard obtiennent un changement d'état civil pour être Guyomac'h ou Guyomarc'h selon les variations historiques de l'état civil ou des registres paroissiaux
@ Jean Albert. C'est ce qui s'est effectivement passé au Portugal. L'Etat portuguais, soucieux de l'histoire de son pays, et des hommes et femmes qui le composent, a affirmé sa volonté de redonner le vrai nom de famille aux Portuguais. En effet, au fil du temps, les noms de famille (et certains prénoms s'étant estropiés du fait de la prononciation phonétique), ayant mués, il était inconcevable de porter un nom qui ne correspondait pas à l'orthographie exacte du nom porté il y a deux cent ou trois cent ans ! Hé oui ! Pourquoi me direz-vous ? Demandez aux généalogistes, ils vous répondront avec grand plaisir, car il n'y a rien de plus frustrant que de butter sur une orthographe approximative de son propre nom (vous avez alors grand peine à déterminer s'il s'agit de votre ancêtre ou non). Bien que les noms anciens pouvaient avoir des orthographes différentes (un F pouvant mué en E, ou un A en H, etc...) Quelle était la procédure ? faire une étude généalogique et de se rendre muni de ces recherches à la mairie du coin avec un formulaire ad-hoc, tout simplement. S'il fallait que les Bretons rétablissent leur noms de famille par leurs noms anciens (puisque francisés) il y aurait un travail considérable mais peut-être nécessaire, ne serait-ce que pour retrouver correctement leurs ancêtres.
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Commentaires (3)
Ils ne peuvent indéfiniment échapper à leur fonction de défense de la Bretagne car ils sont payés non pas uniquement pour cela, mais bien pour cela aussi.
Manquent encore les Parlementaires des 5 départements : députés et sénateurs, ainsi semble-t-il que les élus des Conseils Généraux qui ne doivent pas s'imaginer vivre sur une terre neutre et interchangeable, à l'abri des querelles, un espace lambda sans couleur sans odeur et sans tilde !
Quelle était la procédure ? faire une étude généalogique et de se rendre muni de ces recherches à la mairie du coin avec un formulaire ad-hoc, tout simplement.
S'il fallait que les Bretons rétablissent leur noms de famille par leurs noms anciens (puisque francisés) il y aurait un travail considérable mais peut-être nécessaire, ne serait-ce que pour retrouver correctement leurs ancêtres.